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Les épreuves ne sont pas une punition mais un moyen d'entrer au Paradis

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Message par Admin Sam 18 Jan - 23:05

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Les épreuves ne sont pas une punition mais un moyen d'entrer au Paradis Empty Re: Les épreuves ne sont pas une punition mais un moyen d'entrer au Paradis

Message par Admin Dim 19 Jan - 1:05

La roqia selon le Qur'ân et la Sunna

Cette partie traite des symptômes du sar' (toucher d'un djinn) et de la méthode générale de traitement.

Les symptômes généraux du malade

Cette maladie (le toucher du djinn) a comme toute autre affection ses symptômes propres. Mais lorsque des douleurs banales non solutionnées par la médecine moderne se présentent alors il faut être vigilant et se demander si on n’a pas été touché par un djinn. En effet, les douleurs dans le corps, les brûlures, les échauffements inexpliqués, les malaises, les vertiges, les céphalées, sont parfois des indicateurs de la présence de djinns dans le corps. Mais, il existe d’autres symptômes qui eux sont vraiment propres à cette maladie. En voici un petit éventail qui est loin d’être exhaustif :

Les symptômes durant le sommeil

1. Angoisse et insomnie

2. Agitation durant le sommeil

3. Les cauchemars

4. La vision d’animaux dans les rêves tels que des serpents, des chiens, des chats…

5. Pousser des cris, rire ou pleurer

6. Se lever durant la nuit et marcher tout en étant endormi

7. Se voir tomber d’un lieu élevé durant son sommeil

8. Se voir dans un cimetière, un endroit sale telle qu’une décharge publique

9. Faire des rêves érotiques trop fréquemment (djinn amoureux)

10. Voir des gens ayant une apparence bizarre dans ses rêves

11. Voir toujours une même personne ou un même animal dans un rêve

12. Voir dans ses rêves des personnes de couleur noire

13. Se voir parmi des morts durant ses rêves

Les symptômes à l’état de veille

1. Les maux de tête fréquents, migraine

2. Éprouver un rejet pour toute pratique religieuse telle que la prière, la lecture du Coran

3. La distraction mentale, le malade est tout le temps absent

4. L’indolence et la paresse, le malade n’a envie de rien faire, il se laisse aller

5. Une douleur persistante dans un membre ou dans tout le corps

6. Des brûlures ou des étouffements à la lecture du Coran

7. Le malade parle seul ou ne parle pas du tout

8. Pensées obsessionnelles

9. Avoir la poitrine serrée à partir de la tombée de la nuit

10. Troubles de la vision (flashs, filets grisâtres, visions étranges..)

Les symptômes du sar' (présence d'un djinn) et du sihr se confondent souvent. Cependant, certaines sorcelleries ont des symptômes propres du fait qu'elles ont un but propre.

Il faut savoir que les sorcelleries ne sont pas obligatoirement accompagnées de djinns et que les "touchers de djinns" ne sont pas forcément causés par une sorcellerie. Aussi bien que l'on puisse trouver les deux ensemble, on peut tout simplement trouver l'un ou l'autre seulement. C'est pour cette raison que les symptômes précédents (toucher du djinn) sont parfois accompagnés de ceux de certaines magies. Cependant, la méthode de traitement reste quasiment identique. La méthode décrite ci-dessus peut être appliquée aussi bien pour une sorcellerie qu'un toucher de djinn (mass)

La méthode à suivre pour les soins en conformité avec le Qur'ân et la Sunna (Roqia shar'iya)

Entre médication et confiance en Dieu (tawakul)

Zayd Ibn Aslam a rapporté qu’un homme, du temps du Prophète , était atteint d’une blessure qui lui causa une congestion. L’homme appela deux hommes de la tribu des Bani Anmar pour le soigner. Les deux hommes le regardèrent. Le Prophète leur demanda lequel des deux était le plus compétent en médecine. Ils demandèrent alors s’il y avait un bienfait dans la médecine. Le Prophète leur dit alors : « Celui qui a envoyé le remède est celui qui a envoyé la maladie » [rapporté par Malik].

Certains refusent de se soigner sous prétexte qu’ils placent leur confiance en Allah , attendant de Lui la guérison. Mais ce mode de raisonnement est une erreur car ce n’est pas de cette façon qu’il faut agir : le hadith du Prophète est assez clair ; à savoir qu’il faut se soigner puis placer sa confiance en Dieu qui est Le Seul Détenteur de la guérison. De même, qu’il ne suffit pas de vouloir boire pour étancher sa soif ou de vouloir manger pour apaiser sa faim, il ne suffit pas de vouloir guérir (sans se soigner) pour être d’aplomb. Le médicament n’est de toute façon qu’une cause parmi les causes mais il reste indispensable car par Sa Puissance, Allah a créé ce monde de causes et d’effets.

Le Coran est une guérison

Allah définit le Qur'ân par ce propos: « Ô gens ! Une exhortation vous est venue, de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants » [Sourate 10 verset 57]

As-Suyuti rapporte que ‘Ali, le cousin du Prophète a dit : « Le meilleur des médicaments, c’est le Qur'ân».

Il n’y point de doute que la médication par le Saint Coran est une médication utile qui procure une guérison sans traces. Certes, le Coran est un remède contre tous les maux du cœur et du corps. A ce sujet, on rapporte que l’Imam Ibn Al Qayyim tomba malade à la Mecque mais n’ayant trouvé aucun médecin, il se soigna avec la sourate Al Fatiha. Il raconta que ceci avait une influence étonnante sur sa maladie. Ainsi, il lut cette sourate sur une quantité d’eau et en but jusqu’à que sa guérison soit complète. Il est dit aussi qu’il se mit à employer cette méthode pour toutes sortes de douleurs.

Une note importante

Pour que la médication soit efficace et la guérison rapide, il faut absolument que le malade et le soignant aient la certitude que le Coran procure la guérison. Ils doivent être sûrs que les versets du Coran sont une arme tranchante et une aide puissante faute de quoi le cœur se vide de la confiance en Allah et s’emplit de désespoir. La guérison est de ce fait retardée voir même impossible.

Chers frères, chères sœurs, ne laissez pas le diable vous faire croire qu’Allah ne vous secourra pas. Certes, il ne faut pas désespérer de la miséricorde divine mais placer sa confiance en Lui. C’est à Allah qu’il faut demander le secours !

3 conditions de validité du traitement

Cette médication n’est valable, en regard de la législation islamique (chari’a), que si trois conditions sont remplies :

1- Elle doit se faire exclusivement avec les versets du Qur'ân ou les invocations enseignées par le Prophète Saws ;

2- Elle doit se faire en langue arabe;

3- Le malade et le soignant ne doivent pas oublier que la guérison ne vient que d’Allah et que cette médication n’est qu’une cause parmi les causes.

Source : http://roqia.ifrance.com/index.htm


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Message par Invité Dim 19 Jan - 21:21

salam alaykoum

barak Allah oufik pour le rappel
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