TERRE ISLAM
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Le terrorisme de la république française

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Le terrorisme de la république française Empty Le terrorisme de la république française

Message par Invité Jeu 13 Nov - 16:09

Témoignage historique des français. J'ai pris les paroles depuis "Wikipédia" en corrigeant les erreurs, en enlevant les plaisanteries mensongères de l'auteur et surtout en résumant.

Fin 1793, les "anti-républicains" sont décimés par le froid, la faim et surtout par le typhus, la dysenterie, le choléra et la gale, leur armée laisse derrière elle de nombreux cadavres sur les routes et dans les villes, tandis que les malades et des blessés laissés en arrière sont systématiquement achevés par les Républicains (dits « soldats de la liberté ») lancés à leur poursuite.

Ainsi dès le début de la Virée de Galerne, 400 blessés de la bataille Cholet sont massacrés par les troupes de Westermann à Beaupréau. Quelques jours après, une trentaine de blessés abandonnés à Candé sont tués quand les patriotes reprennent la ville. Puis après l'échec du siège de Granville, les Vendéens quittent la Normandie et laissent encore derrière eux de nombreux blessés et traînards.
À Avranches, le 16 novembre la municipalité fait exécuter 55 à 60 Vendéens pris dans les hôpitaux, puis cinq jours plus tard, le représentant Laplanche fait fusiller plus de 800 prisonniers vendéens, la plupart malades ou blessés lors du massacre d'Avranches.

Le 18 novembre, les généraux Canuel et Amey reprennent Fougères, aussitôt les soldats torturent et massacrent 200 Vendéens dans les hôpitaux, dont de nombreuses femmes. De même à Mayenne, par peur des contagions, le représentant Letourneur fait fusiller 200 malades vendéens, touchés par la dysenterie. Le 10 décembre, en tête de la poursuite, le général Westermann tue et massacre 100 rebelles à La Flèche, puis fait égorger 600 autres traînards dans les villages des environs. Le lendemain, le général Kléber arrive dans cette même ville avec sa division et 300 malades et blessés sont encore massacrés.

À la suite de leur victoire à la bataille de Dol, les Vendéens peuvent regagner les bords de la Loire, mais ils ne parviennent pas à prendre Angers. Finalement des renforts républicains dégagent la ville et les Royalistes s'enfuient sur La Flèche avant de trouver un refuge temporaire au Mans. Le 13 décembre, les Républicains prennent la ville d'assaut et la bataille dégénère en massacre des blessés, des femmes et des enfants. Arrivé dans la ville en plein combat le général en chef Marceau fait battre la générale pour rassembler les soldats et arrêter les tueries, il sauve, provisoirement, des milliers de prisonniers alors que les fusillades et les viols se poursuivent devant une maison.

Au moins 10 000 à 15 000 Vendéens sont tués tant par les combats que par les massacres alors que les Républicains ne déplorent que 30 à 100 tués. Les survivants fuient vers la Loire, le 16 décembre, ils sont à Ancenis. À Nort-sur-Erdre, Westermann massacre 300 à 400 traînards. Le général Westermann, commandant de la cavalerie et chef de l'avant-garde se distingue par chevauchées sanglantes et gagne le surnom du « boucher. » Le passage sur la Loire étant coupé par les chaloupes canonnières, les Vendéens se replient vers l'ouest mais ils sont rattrapés le 23 décembre à Savenay.

La Bataille de Savenay est un nouveau massacre, 4 000 à 7 000 Vendéens sont tués au combat ou fusillés. Dans une lettre célèbre, Westermann écrit au Comité de Salut public: « Suivant les ordres que vous m’aviez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. » (!!)

Le carnage se poursuit pendant plusieurs jours, le 26 décembre, 500 à 600 Vendéens sont fusillés à la butte de Sem à Prinquiau. Dans les trois jours qui suivent la bataille, la commission Bignon fait fusiller 662 prisonniers pris les armes à la main tandis que les femmes et les enfants, au nombre de 1 679, sont envoyés dans les prisons de Nantes. Lors de ces trois mois de combats, plus de 5 000 soldats républicains ont été tués, 50 000 à 70 000 Vendéens et Chouans sont morts; plus de 10 000 ont été faits prisonniers; 4 000 seulement sont parvenus à regagner la Vendée militaire.

Certains ont inventé la chambre à gaz, Jean-Baptiste Carrier, lui, a mis au point la "déportation verticale": la noyade de masse pour éliminer rapidement et à moindres frais des "gêneurs" devenus trop nombreux. Envoyé par Paris afin de mettre fin à la révolte vendéenne par tous les moyens, Carrier expérimente sa nouvelle méthode à la mi-novembre 1793 avec 90 prêtres.

En plus des fusillades, les prisonniers, hommes, femmes et enfants, souvent dépouillés, sont entassés sur de vieux navires qui sont coulés au milieu de la Loire avec leur chargement humain. Outre les commissions militaires, de nombreux prisonniers sont exécutés sans jugements. Ainsi les fusillades de Nantes font 2 600 à 3 600 victimes au total. 144 personnes sont également guillotinées, place du Bouffay. Les exécutions de décembre marquent particulièrement les esprits. Le 17, 24 Vendéens, dont quatre enfants de 13 à 14 ans, sont exécutés sans jugement sur ordre de Carrier. De par sa petite taille, l'un des enfants a la tête fendue par la lame au lieu d'être décapité au cou.

Le 19 décembre, 27 autres victimes suivent dont 7 femmes; les sœurs de La Métayrie, âgées de 17 à 28 ans. Quelques jours après, le bourreau est remplacé, le bruit circulant parmi la population qu'il avait mis fin à ses jours. Au total, sur les 12 000 à 13 000 prisonniers, hommes, femmes et enfants, que compte la ville, 8 000 à 11 000 périssent, dont la quasi-totalité des prisonniers de l'entrepôt. La grande majorité des victimes sont des Vendéens, on compte aussi des Chouans, des suspects nantais, généralement girondins ou fédéralistes, des prêtres réfractaires, des prostituées, des droits communs, ainsi que des prisonniers de guerre Anglais et Hollandais.

Un homme déclara: « Avant que Carrier fût dénoncé, j'allai voir Robespierre, qui était incommodé ; je lui peignis toutes les horreurs qui s'étaient commises à Nantes ; il me répondit : Carrier est un patriote ; il fallait cela dans Nantes. » Donc tout cela pour qui, pour quoi? La patrie et la république!
Mais malheureusement cela n'était qu'un début. Il est dit qu'il n'y aurait "de moyen de ramener le calme dans ce pays qu'en en faisant sortir tout ce qui n'était pas coupable et acharné, en en exterminant le reste et en le repeuplant le plus tôt possible de républicains"!!

Après cela le républicain Turrier et d'autres passent à l'attaque.
Leurs armées se livrent aux pillages, massacrent la population civile, violant et torturant, tuant femmes et enfants, souvent à l'arme blanche pour ne pas gaspiller la poudre, brûlant des villages entiers, saisissants ou détruisant les récoltes et le bétail. Des femmes enceintes sont écrasées sous des pressoirs, des nouveau-nés sont empalés au bout des baïonnettes. D'après des témoignages de soldats ou d'agents républicains, des femmes et des enfants sont coupés vifs en morceaux ou jetés vivants dans des fours à pain allumés.

Si la plupart des généraux respectent les ordres d'évacuations des populations jugées républicaines, les troupes commandées par Cordellier, Grignon, Huché et Amey se distinguent par leurs violences, au point d'exterminer des populations entières, massacrants indistinctement royalistes et patriotes.

Malgré cela les républicains de Paris ne semblent pas encore satisfait de Turreau ! Dans un décret il lui est dit:
« Il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n'être qu'un grand cimetière national ; il faut expulser de son territoire les Royalistes non armés, les Patriotes tièdes, etc., et couvrir ce pays du plus pur de la Nation. Repeuplez-le de bons Sans-Culottes. » !!

Il a été dit qu'au cours de cette période, environ 500 000 personnes sont emprisonnées et approximativement 100 000 sont exécutées ou victimes de massacres ; dont environ 17 000 guillotinés et 20 000 à 30 000 fusillés. Et Allah sait mieux… on ne peut que le remercier de nous avoir guider vers l'islam. Sans foi ni peur d'Allah la vie ne vaut rien.
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