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L’homme est un ennemi pour l’Homme

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Message par Citizenkan Mar 2 Fév - 14:35





L’homme est un ennemi pour l’Homme

(Partie 1)

Nouvelle version


Au Nom d’Allah, le Très-Miséricordieux, le Tout-Miséricordieux. Louange à Allah le Seigneur de l’Univers ! Que le Salut et les Prières d’Allah soient sur le maître des premières et des dernières générations, notre maître et notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa famille, ses Compagnons, et tous ceux qui suivent leur voie et qui s’accrochent à leur tradition jusqu’au Jour des comptes !


Voir : on a le gouverneur qu’on mérite (kamâ takûnû yuwallâ ‘alaïkom) du Sheïkh Abd el Mâlik Ramadhânî.


Rien ne se passe dans le royaume de Dieu, à qui tout appartient, sans Sa Volonté. Dans Sa sagesse et Sa justice infinies, Il décrète que tous les malheurs qui surviennent aux hommes sont les fruits de leurs actes. Ces derniers vacillent entre Sa Miséricorde, que suscitent leurs bonnes œuvres, et Son Courroux, que déclenchent leurs péchés. Plus ils se soumettent au chemin qu’Il leur a dicté à travers Sa Loi, plus ils jouissent des bienfaits de ce bas monde et plus ils sont épargnés par les malheurs ; sans compter la récompense immense qui les attend dans l’au-delà. Il leur facilite toute bonne chose et soumet la nature à leur service. Le bonheur peut ainsi régner dans leurs sociétés.


Allah (U) révèle : [Si seulement les gens des cités avaient cru et s’ils avaient été pieux, Nous les aurions comblés des bénédictions du ciel et de la terre, mais comme ils ont crié au mensonge, nous les avons alors frappés pour prix de leurs mauvaises actions].[1] Le Très-Haut déclare également en parlant des juifs et des chrétiens : (Si au moins ils avaient pratiqué la Thora, l’Évangile, et la Révélation descendue à leur égard de la part de leur Seigneur, leur nourriture leur viendrait en dessus d’eux et dessous leurs pieds).[2]


Seuls les péchés viennent troubler l’harmonie qui les entoure, comme le soulignent les Versets : [À chacun d’eux, Nous avons fait payer ses crimes][3] ; [Tout malheur qui vous frappe n’est que le fruit de vos actes bien que, pour beaucoup d’entre eux, Il n’en tienne pas rigueur],[4] [Et le jour où vous essuyâmes une cuisante défaite, après avoir triomphé à deux reprises, vous vous demandâtes alors : Comment en sommes-nous arrivés là ? Réponds-leur : ne vous en prenez qu’à vous-mêmes][5] ; [Le bien qui t’arrive procède d’Allah, mais le mal qui te frappe procède de toi][6] ; [S’il y en eut, parmi vous, qui battirent retraite le jour où les deux armées s’affrontèrent, ce fut en punition à certaines actions commises par ceux des vôtres ayant cédé aux instigations de Satan][7] ; [ou qu’Il les fasse chavirer en punition à leurs péchés bien que, pour beaucoup d’entre eux, Il n’en tienne pas rigueur][8] ; [mais aussitôt qu’un malheur les touche en punition à leurs fautes, ils font preuve d’une grande ingratitude].[9]


Selon ‘Abd Allah ibn ‘Omar, un jour, le Messager d’Allah (r) s’est présenté à nous pour nous déclarer : « Vous, les muhâjirîns (les émigrés mecquois ndt.) ! Il y a cinq malheurs que vous encourez, mais dont j’implore Allah de vous préserver : tout peuple où la perversion se répand ouvertement, est frappée par la peste et les maux qui furent étrangers à ses ancêtres ; quand il triche sur le poids et la mesure, il est frappé par la pénurie, la misère extrême et la tyrannie des sultans ; quand il ne verse pas la zakât, il est privé de la pluie ; si ce n’était que par compassion envers les animaux, il ne la verrait plus ; quand il ne respecte pas le pacte d’Allah et celui de Son Messager, il est envahi par un ennemi étranger qui s’empare d’une partie de ses richesses ; quand ses chefs ne font pas régner le Livre d’Allah en se détournant de la Révélation, Allah leur fait goûter les guerres intestines. »[10]


Les péchés enclenchent la punition divine qui s’abat sur un peuple, en ne laissant derrière elle que les pleurs et la désolation. Celle-ci arrive parfois à l’improviste aux premières lueurs du jour à la faveur d’une attaque de guerriers armés jusqu’aux dents. Déterminés à le massacrer sans faire de quartier, piller ses richesses, violer ses filles, et le soumettre à une vile colonisation, ils ne sont que le reflet de ses dérives ; ses belles heures sont derrière lui, et il est privé désormais de la joie de vivre, de la même manière qu’auparavant, il était avare de bonnes actions, soumis qu’il est à la loi d’un Dieu Sage et juste, qu’Allah nous vienne en aide !


Il existe deux sortes de punitions célestes :


1- Les punitions qui relèvent de la Loi universelle (touchant à la Volonté décrétive d’Allah ndt.) :


Elles se traduisent par la pauvreté, l’inflation, la sécheresse, la tyrannie des sultans, les invasions armées, la corruption des biens et des enfants. Elles correspondent également à la peur et aux soucis qui s’installent dans les cœurs, mais aussi aux tremblements de terre, aux inondations, aux éboulements de terrain, etc. Le Verset suivant nous apprend que la pauvreté, la sécheresse et la diminution des richesses sont le résultat des péchés.


Le Très-Haut révèle en effet : [Nous infligeâmes alors aux courtisans de Pharaon des années de sécheresse et de mauvaises récoltes à titre d’avertissement].[11] On retrouve la punition divine dans la corruption des biens et des enfants dans le Verset : [Ne te laisse pas éblouir par leurs richesses et leurs enfants, car Allah veut seulement en faire, dans ce bas monde, l’objet de leurs souffrances jusqu’au jour où ils goutteront aux affres de la mort sans n’avoir jamais renoncé à la mécréance].[12]


Concernant les « catastrophes naturelles », le Très-Haut révèle : [À chacun d’eux, Nous avons fait payer ses crimes ; contre les uns, Nous avons déchainé un vent violent, alors que d’autres furent saisis par un cri foudroyant, ou engloutis par la terre, ou encore noyés sous les eaux ; Allah n’était point injuste envers eux, mais eux-mêmes furent les artisans de leur péril].[13] Au demeurant, la plus terrible des punitions est confinée dans l’absence de foi, en ayant pour seul guide un savoir stérile, loin du droit chemin : [et pour avoir osé déclarer que leur cœur était recouvert d’une enveloppe, alors que c’est Allah qui l’a plutôt scellé en raison de leur mécréance ; ainsi, ils ne croient que très peu][14] ; [Nous dévions leur cœur et leur regard comme ils n’y avaient pas cru la première fois, et nous les laissons se vautrer dans leur rébellion][15] ; [Mais comme ils dévièrent du droit chemin, Allah égara leur cœur, car Allah ne guide point les pervers].[16]


Ibn el Qaïyim est l’auteur d’une telle belle analyse : « Quand on connait la situation et les mécanismes qui font marcher le monde, on prend conscience que la dégradation qui règne sur le temps, la nature, les animaux, et les hommes est provoquée par certains événements. Depuis toujours, les œuvres des fils d’Adam, qui se rebellent contre les messagers d’Allah, sont à l’origine de la dégradation à grande échelle qu’ils subissent ; maladie, peste, pénurie, aridité, privation ou diminution de l’abondance et des fruits de la terre sont autant de fléaux qui les frappent en chaînes. Si ton savoir est limité dans ce domaine, contente-toi alors du Verset : [La corruption s’est répandue sur la terre et la mer à cause du mal que les hommes ont perpétré].[17] Compare entre ce Verset et la situation dans le monde, et tu te rendras compte pour quelle raison les fruits, les récoltes et les animaux subissent-ils constamment des fléaux ! Comment ces fléaux sont-ils à l’origine d’autres fléaux qui s’enchaînent les uns à la suite des autres ?


Toutes les fois que les hommes font régner la perversité et l’injustice, Leur Seigneur leur envoie des calamités qui s’abattent sur leur nourriture, les fruits, le temps, l’eau, leur personne et leur santé. Toute sorte de catastrophes qui reflètent leurs actes. Auparavant, les graines de blé étaient beaucoup plus grosses qu’aujourd’hui. Selon l’Imam Ahmed, avec sa propre chaîne narrative, on trouva dans les réserves d’un émir de la dynastie omeyyade, un sac de blé dont les graines étaient aussi grosses qu’un noyau de datte et sur lequel était inscrit : ces graines poussaient à l’époque où régnait la justice. Ibn Hanbal recense cette annale dans son recueil el musnad à la suite d’un hadîth qu’il rapporte.[18]


La plupart des maladies et des grands fléaux qui règnent aujourd’hui sont les traces des punitions célestes qui touchèrent les civilisations anciennes. Ils sont désormais à l’affut de leurs successeurs qui les imitent dans la façon de gouverner et de faire régner la loi et la justice. Le Prophète (r) fait allusion à ce phénomène en parlant de la peste au sujet de laquelle il déclare : « Elle est la trace de l’infamie ou de la punition qui fut envoyée aux enfants d’Israël. »[19] En outre, Allah fit s’abattre un vent foudroyant contre un peuple pendant sept nuits et huit jours. Désormais, la trace de ce vent ou d’autres vents de ce genre nous rappelle cet évènement et nous sert de leçon.


Allah (I) a fait que les œuvres des pieux et des pervers se répercutent inévitablement sur le monde. Ceux qui se privent de faire le bien, l’aumône, et de verset la zakât sont privés de la pluie et sont éprouvés par la pénurie et la sécheresse. Les peuples où les miséreux sont traités injustement, qui trichent dans le poids et la mesure, et où le fort s’acharne contre le faible, ils sont éprouvés par des tyrans qui n’ont aucune pitié envers des sujets profondément frustrés par leur cupidité. En fait, ils incarnent les actes de leurs sujets qui se manifestent dans leur tyrannie. D’autres fois, ce sont les maladies collectives qui incarnent leurs actes, ou encore les peurs et les douleurs qui tracassent leur esprit en permanence. Ils peuvent également être privés des bénédictions du ciel et de la terre. Parfois, ils sont harcelés par les démons qui les entrainent droit vers la punition céleste, afin que se vérifie sur eux le Décret divin, et que chacun soit guidé vers son destin.


L’homme sensé promène son regard à travers tous les coins de la terre pour vérifier cela. Il peut voir ainsi les lieux où la justice et la sagesse d’Allah se sont manifestées. Dès lors, il se rend compte que seuls les prophètes et leurs adeptes suivent le chemin de la délivrance. Quant au reste de l’humanité, ils sont voués à la ruine et se dirigent vers la demeure de la perdition. Allah atteint toujours ce qu’Il veut, personne ne peut contester Son Jugement et s’opposer à Sa Volonté. Certes, Il est Celui qui concède la réussite ! »[20]


À suivre…


Traduit par : Karim Zentici

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[1] Les remparts ; 96

[2] Le Repas Céleste ; 66

[3] L’araignée ; 40

[4] La concertation ; 30

[5] La famille d‘Imrân ; 165

[6] Les femmes ; 79

[7] La famille d‘Imrân ; 155

[8] La concertation ; 34

[9] La concertation ; 48

[10] Rapporté par le recueil d’ibn Mâja (n° 4019) ; sheïkh el Albânî l’a authentifié en recension à ce dernier.

[11] Les remparts ; 130

[12] Le repentir ; 55

[13] L’araignée ; 40

[14] Les femmes ; 155

[15] Le bétail ; 110

[16] Les rangs ; 5

[17] Les Romains ; 41

[18] Voir : el musnad (2/296) ; cette annale est également rapportée par ibn Ma’în dans son târîkh (n° 3897), et ibn Abî Shaïba (n° 35164).

[19] Rapporté par e-Tirmidhî (n° 1065), avec une chaîne narrative authentique.

[20] Zâd el ma’âd (4/362).
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Message par Citizenkan Mer 3 Fév - 21:58





L’homme est un ennemi pour l’Homme

(Partie 2)

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2- Les punitions qui relèvent de la Loi textuelle (touchant à la Volonté préceptive d’Allah ndt.) :


Dans le sens où le Très-Haut peut interdire à un peuple pervers des jouissances qui leur étaient licites. Celui-ci révèle à ce sujet : [Et aux adeptes du judaïsme, Nous leur avons interdit la viande d’animaux à sabots, la graisse de bœuf et de mouton, excepté celle du dos et des entrailles, ainsi que celle qui est mêlée aux os ; Nous les avons punis ainsi pour leur iniquité, certes, Nous disons la stricte vérité].[1] Allah nous informe qu’Il leur a interdit certaines choses en punition à leur iniquité qui correspond à l’injustice ; cette interdiction frappe les animaux à sabot fendu comme le chameau.[2] Il leur a également interdit la graisse des bovins et des ovins,[3] sauf celle du dos, des entrailles et celle mêlée aux os. Au début, ils avaient le droit d’en consommer, mais des dispositions plus tardives vinrent abroger cette liberté, en raison de leurs mauvais actes. En voici la preuve : [En raison de l’injustice des adeptes du judaïsme ayant détourné beaucoup de monde du droit chemin, Nous leur avons interdit maintes bonnes choses autrefois autorisées • Et pour avoir pratiqué l’usure qui était pourtant frappée d’une interdiction, mais aussi pour leur penchant à manger injustement les biens d’autrui ; Nous avons réservé aux mécréants parmi eux un châtiment douloureux].[4]


L’un des exemples notoires est l’histoire que relate la sourate la vache, et qui dépeint la mauvaise volonté dont firent preuve les enfants d’Israël à qui il fut enjoint de tuer une vache. Au départ, n’importe quel animal aurait faire l’affaire, mais leur hésitation que trahissaient leurs questions incessantes affichant un scrupule affecté, rendit la tâche bien plus ardue. En punition à leur obstination, Allah les accabla de conditions que la bête à immoler devait remplir. Ibn ‘Abbâs explique à ce sujet : « S’ils s’étaient contentés de n’importe quelle bête, l’affaire aurait été réglée, mais comme ils insistèrent Allah les accabla de conditions. »[5]

Autrement dit, Allah leur assigna une tâche plus lourde en leur imposant des conditions plus que compliquées dont la bête devait se doter. Cela, en punition à leurs péchés et plus particulièrement pour avoir joué les fortes têtes face au Décret divin.


Si cela est clair, ibn el Qaïyim pointe le doigt sur la cause des défaites infligées aux musulmans : « Nous pouvons désormais mieux pénétrer le Verset disant : [Allah ne laissera jamais aux infidèles de prendre le dessus sur les croyants].[6] Celui-ci est à prendre, dans sa généralité, au sens littéral. Il arrive, cependant, aux infidèles de dominer les croyants coupables de transgressions qui s’opposent à la foi. La punition est à la hauteur de la faute. Ils sont donc responsables de leur propre défaite, comme ce fut le cas à la bataille d’Uhûd où ils transgressèrent les ordres du Prophète. Ainsi, si Satan exerce son emprise sur les élus de Dieu, c’est uniquement dans la mesure où les péchés de ces derniers, qui peuvent se hisser au niveau de l’idolâtrie, ouvrent une brèche pour le laisser causer des dégâts de l’intérieur. C’est alors qu’Allah abandonne Son serviteur aux mains de Satan qui le tient plus que jamais en son pouvoir ; si on y trouve un bien, il incombe de louer le Tout-Puissant, sinon, il ne faut s’en prendre qu’à soi-même ! »[7]


Ailleurs, ibn el Qaïyim explique par quel phénomène, les mauvais émirs s’installent à la tête des musulmans, à la faveur d’une analyse qui, à ma connaissance, n’a pas sa pareille : « À bien y réfléchir, remarque-t-il, le Très-Haut fit preuve d’une grande sagesse lorsqu’Il décréta que la classe dirigeante était à l’image du peuple. Celle-ci est l’instrument qui va jauger l’état de santé de la société ; une bonne société donnera de bons dirigeants et vice-versa. Les vices d’en bas (injustice, fraude, malhonnêteté, dépouillement, cupidité, extorsion des plus faibles) se répercuteront en haut. Les lourds impôts et les spoliations légales qui accablent les foyers ne sont que la manifestation de ces symptômes. Les tyrans sont donc le reflet du peuple opprimé. La sagesse divine veut qu’un peuple gangréné par la débauche soit gouverné par des hommes de même type.

La première époque, l’âge d’or de l’Islam, baignait dans un climat de piété à tous les échelons. Les changements qui bouleversèrent, par la suite, cette harmonie s’opérèrent par le bas. Aujourd’hui, cette même sagesse divine refuserait que nous soyons représentés par des hommes comme Mu’âwiya et ‘Omar ibn ‘Abd el ‘Azîz, sans parler d’Abû Bakr ni d’Omar. Nos représentants sont à notre niveau, comme c’était le cas par le passé. Les différentes conjonctures répondent à une sagesse infinie. L’esprit perspicace va la palper à la faveur d’un voyage intérieur qui le mettra en contact avec les mystères du destin les plus subtils, de la même manière qu’il appréhende allégrement les lois de la création et de la religion. Que personne ne se hasarde à des conjectures fondées sur l’impression que telle chose échappe à la vigilance divine. Rien n’est laissé au hasard, et les plans du Très-Haut sont justes et impeccables. Sauf que les âmes faibles sont incapables de les percer à l’image des chauves-souris non adaptées pour supporter la lumière du soleil. Ces âmes faibles sont perméables aux hérésies qui vont s’imprégner en elles pour se transformer en véritable seconde nature, à l’image des chauves-souris qui s’épanouissent dans les ténèbres des grottes obscures.


Le soleil gêne énormément les chauves-souris

Qui s’épanouissent au gré de la nuit sombre. »[8]


Traduit par : Karim Zentici

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[1] Le bétail ; 146

[2] L’Ancien Testament dresse une liste des animaux ayant des sabots à ne pas consommer, dont notamment le porc qui a le sabot fendu (voir : le Lévitique ; 11.3-8 et Deutéronome ; 14.7-8). (N. du T.)

[3] Voir : le Lévitique ; 7.22-25 (N. du T.)

[4] Les femmes ; 160-161

Remarque : l’Ancien Testament proscrit le prêt à intérêt entre israélites (voir : Exode ; 22.24, le Lévitique ; 25.36-37, et Deutéronome ; 23.20-21). Or, contrairement à la Bible, le Coran ne fait pas la distinction entre un Juif et un non-juif, car, dans tous les cas, l’usure est une forme d’injustice wa Allah a’lam ! (N. du T.)

[5] Cette annale, jugée hasanbonne, est rapportée par ibn Jarîr dans son tafsîr (2/98) ; ibn kathîr l’a authentifiée dans son exégèse.

[6] Les femmes ; 79

[7] Voir : ighâtha e-lahfân (1/100).

[8] Voir : miftâh dâr e-sa’âda (1/253).
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